vendredi 21 juin 2013

Dans le port de Saint Goustan il faisait bon s'y s'arrêter




Chorale "Crac'hophonie 

"Chanter est toujours un acte joyeux"
                                                                                         Jacques Higelin

lundi 17 juin 2013

Le marin de Locmariaquer

Francis Joyon
Comme en 2008   "la mer m'a laissé passer"




"Naviguer : c'est accepter les contraintes que l'on a choisies. C'est un privilège. La plupart des humains subissent les obligations que la vie leur a imposées."

Eric Tabarly

mardi 11 juin 2013

Laissez partir Nelson Mandela

Condamné à la prison et aux travaux forcés à perpétuité pour son action pour l'égalité des droits civiques, Nelson Mandela passa 27 années dans les geôles de l'Apartheid avant de gagner les premières élections non raciales d'Afrique du Sud !



Le 9 juillet 1992 a lieu le premier match international des Sud-Africains, depuis la fin de l'apartheid, contre le Cameroun.


Invictus

Dans la nuit qui m'environne,
Dans les ténèbres qui m'enserrent,
Je loue les dieux qui me donnent une âme
A la fois, noble et fière.

Prisonnier de ma situation,
Je ne veux pas me rebeller.
Meurtri par les tribulations,
Je suis debout, bien que blessé.

En ce lieu d'opprobre et de pleurs,
Je ne vois qu'horreur et ombres.
Les années s'annoncent sombres,
Mais je ne connaîtrai pas la peur.

Aussi étroit que soit le chemin,
Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme;
Je suis le maître de mon destin,
Le capitaine de mon âme.
                        William Ernest Henley                 
(Traduction d'après la VF de la série Les Frères Scott)

jeudi 6 juin 2013

Cette visite devient un vrai pèlerinage annuel


Festival photo La Gacilly


Carnet d'Afghanistan : Sabrina et Roland Michaud


samedi 1 juin 2013

Sur le blog d'Eric Chevillard


1936

Devant moi, dans la rue piétonne, marchaient des silhouettes lentes, légèrement voûtées… on aurait dit des moines plongés dans leur missel… ma parole : tous ces gens lisaient ! Miracle ! Tout n’était donc pas perdu. J’accélérai le pas pour tenter de voir quels auteurs tenaient ainsi leurs lecteurs captifs jusque dans la rue…
  
Mais non, ces passants consultaient tous leur portable d’un œil stupide. C’était d’ailleurs plutôt leur nez qui semblait concerné, semblable au bec de la poule qui picore.

 (L’évolution n’était donc pas achevée : l’homme a désormais l’air plus ouvert, plus curieux, plus cultivé, plus intelligent et plus sagace de dos !)